Exclues parmi les exclus : ces filles des ghettos d’Abidjan, considérées comme des « déchets sociaux » – Basta !

Elles ont fui leurs familles pour la capitale, perçue comme un marchepieds vers le rêve occidental. A la place du rêve, elles y découvrent la survie, la prostitution, la violence. L’anthropologue et cinéaste Éliane de Latour est allée à la rencontre de ces « gos » de nuits. Elle décrit des « filles-femmes » marquées par les épreuves, mais qui se battent malgré tout pour écrire « une histoire à la première personne », comme tant d’autres damnées du capitalisme mondialisé, qui grandissent dans les rues des métropoles des pays pauvres. Son exposition, qui commence le 13 novembre à la Maison des métallos à Paris, leur rend hommage. Entretien.

Basta !  : Vous avez rencontré celles que l’on appelle les « gos de nuit », à Abidjan, dans les « ghettos de fraîchenies ». A quoi ressemblent ces endroits ?

via www.bastamag.net

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